Manque d’AESH : faites remonter la situation de votre école

En cette rentrée, il manque des milliers d’AESH dans les écoles. Cela a des conséquences parfois très contraignantes sur l’organisation de l’école : mutualisation du temps de présence des AESH sur l’école, et moins d’accompagnement pour d’autres élèves, conditions de travail et d’accueil dégradées…etc (Lire le communiqué du SNUDI-FO).

-> Nous vous invitons à nous faire remonter vos dotations et besoins en accompagnement pour votre école. Il est important d’agir dès le début de l’année scolaire pour que les AESH soient recrutés et affectés à hauteur des besoins des élèves.

Pour cela, le SNUDIFO47 met à disposition une enquête en ligne qui permettra au syndicat d’agir en conséquence directement auprès du DASEN pour que tous les moyens nécessaires soient attribués.

Évaluation d’école : Nul ne peut être contraint d’y participer !

Communiqué du SNUDIFO47

La note de service relative au plan de formation continue 2024-2025 indique : « De nouvelles écoles vont entrer en évaluation d’école. » Cette année encore, des dizaines d’écoles ont été « sélectionnées » pour subir une évaluation.

Le SNUDIFO47 souhaite rappeler quelques éléments de clarification concernant ces évaluations d’école. Si la hiérarchie met la pression sur les collègues en affirmant oralement le caractère obligatoire de ces évaluations, elle ne l’a jamais écrit dans une circulaire.

D’ailleurs, dans différentes instances, recteurs et Dasen ont confirmé leur caractère facultatif, à l’instar de la Dasen du Val-de-Marne qui lors du CDEN du 13 octobre 2022 a déclaré que « les évaluations d’écoles sont facultatives dans le département et au niveau national », ou de la rectrice de l’académie de Créteil lors du CSA de rentrée du 15 septembre 2023 : « Les évaluations d’école ne peuvent pas être imposées ».

Le SNUDIFO47 rappelle que Vademecum et ses annexes, bien souvent mis en avant par les IEN, ne présentent aucun caractère obligatoire.

Cela n’empêche pourtant pas la Ministre démissionnaire de vouloir tenter d’imposer les évaluations d’école aux collègues.

La loi Blanquer pour une école de confiance crée effectivement un Conseil d’Évaluation de l’École (CEE) chargé de « définir le cadre méthodologique et les outils des autoévaluations et des évaluations des établissements conduites par le ministère ».

Le cadre réglementaire, qui n’a pas changé depuis l’année dernière, correspond ainsi aux outils établis et auto-validés par le CEE au travers d’un Vademecum et de trois annexes… dont le CEE précise lui-même que « leur utilisation ne revêt aucun caractère obligatoire ».

Le SNUDIFO47 rappelle, s’il en est encore besoin, qu’aucun décret ni aucun arrêté ne met en place les évaluations d’école. Rien dans le statut des professeurs des écoles ne prévoit que les personnels soient soumis à une évaluation d’école.

Le SNUDIFO47 tient à réaffirmer que les évaluations d’école ne figurent pas dans les obligations réglementaires de service (ORS) des enseignants du 1er degré, définies par le décret n° 2017-444 du 29 mars 2017. Nul ne peut donc être contraint d’y participer !

Le SNUDIFO47 constate, à ce titre, que dans les départements où les collègues ont fait savoir à leur IEN qu’ils n’étaient pas volontaires pour participer à une évaluation d’école et n’y ont pas pris part n’ont jamais fait l’objet d’une retenue sur salaire ou de la moindre sanction.

Le SNUDIFO47 rappelle que la formation continue représente pour chaque enseignant un droit inscrit dans ses ORS. Aucun personnel ne peut se voir imposer des heures de formation ou de réunions en lieu et place d’animations pédagogiques ou de formation continue. Il n’est donc pas réglementaire d’amputer les 18h de formations et d’animations pédagogiques pour les allouer aux évaluations d’école. Le droit à la formation continue ne peut pas être confisqué !

Le SNUDIFO47 invite les collègues à (re)prendre connaissance de notre dossier toujours d’actualité : Évaluations d’écoles : Attention danger !

Le SNUDIFO47 invite les collègues qui veulent refuser l’évaluation d’école à saisir le syndicat. Les collègues qui entrent dans le dispositif n’ont pas à faire des heures supplémentaires de travail gratuit. N’hésitez pas à contacter le syndicat.

Avec son syndicat national, le SNUDIFO47 revendique l’abandon des évaluations d’école !

Participez nombreux aux Réunions d’Information Syndicale (RIS) organisées par le SNUDIFO47 en cette rentrée scolaire.

(3 X 3 heures peuvent être déduite des AP, y compris sur le temps consacré à l’évaluation d’école)

-> Télécharger le communiqué en PDF

18 heures d’animations pédagogiques… et non plus 24 !

« Cette année les enseignants bénéficieront de 18 heures d’animations pédagogiques » indique la note de service relative au plan de formation en date du 11 septembre 2024. Et non plus 24 heures comme le spécifiaient les notes de service 2022 et 2023.

Cela fait deux ans que le SNUDIFO47 bataille pour que nos obligations réglementaires de service soient respectées : 108 heures annualisées, dont 18 heures d’animations pédagogiques, pas une de plus ! Fût-ce au nom d’une prétendue « 2ème journée de prérentrée » (baptisée ici «  journée de la rectrice ») qui n’a pas d’existence réglementaire.

Depuis deux ans, nous n’avons en effet cessé par courrier, lors d’audiences ou à l’occasion de réunions du Comité social d’administration départemental, de rappeler qu’il n’était pas possible d’imposer au mépris des textes réglementaires définissant nos ORS du temps de travail supplémentaire gratuit (en particulier le décret n°2017-444 du 29 mars 2017).

Il semblerait que notre acharnement ait payé et que nous ayons enfin été entendus.

Nous restons néanmoins vigilant mais c’est un encouragement à ne rien lâcher pour défendre nos droits et nos conditions de travail.

Plus que jamais, vous pouvez compter pour cela sur le SNUDIFO47 pour qui « vos droits sont notre loi ».

-> Le communiqué en PDF

Nos réunions d’information syndicale (RIS)

Nos RIS 2024-2025 Période 2

4 réunions intersyndicales Snudi FO, FSU Snuipp, SE-UNSA, Sud-Education pour préparer la riposte suite aux annonces du gouvernement. Ces heures sont déductibles des animations pédagogiques comme les autres réunions d’information syndicales (procéder comme indiqué ci-dessous)
MARMANDE : Mardi 19 novembre de 17 h à 20 h, école élémentaire E. Herriot
FOULAYRONNES : Mardi 19 novembre de 17 h à 20 h, école élémentaire M. Castelnérac
TONNEINS : Jeudi 21 novembre de 17h15 à 20h15 à l’école élémentaire Jules Ferry
AGEN : Mardi 26 novembre de 17h à 20h à l’école maternelle Petits Ponts

2 réunions d’informations syndicales

  • VILLENEUVE SUR LOT : Mardi 3 décembre de 17 h à 20 h, école primaire F. Buisson
  • NERAC : Mardi 3 décembre de 17 h à 20 h, école élémentaire M. Curie

Au programme :

  • Budget 2025 : organiser la mobilisation contre les 3 155 suppressions de postes, l’augmentation des jours de carence et la baisse des indemnités journalières
  • Situation dans les écoles : manque de remplaçants, manque d’AESH…
  • École inclusive : Acte II de l’école inclusive, Pôles d’appui à la scolarité (PAS), difficultés liées à l’inclusion systématique…
  • Défense de nos droits et obligations de service : 108 heures annualisées, évaluations d’école, APC, formations et animations pédagogiques, formation en « constellations », autorisations d’absence, temps partiel, rupture conventionnelle…
  • Défense de notre statut et du cadre national de l’École Républicaine : « Choc des savoirs » et les groupes de niveaux, PACTE, évaluations d’école, proposition de loi Rilhac 2, évaluations nationales du CP au CM2, évaluation spécifique des directeurs…
  • PPCR : rendez-vous de carrière, promotions, recours.

Vous pourrez poser toutes vos questions, témoigner, déposer vos dossiers et vous syndiquer si ce n’est pas déjà fait …

Rappel de vos droits

Vous avez droit à 9h de réunions d’information syndicale (RIS) par année scolaire (3 fois 3 heures).

Ces heures de réunions sont déductibles de toutes les heures hors la classe (108 h sauf APC).

Il n’y a pas d’animations ou de conférences ou de réunions « obligatoires » interdites de rattrapage par des RIS ! Vous pouvez donc participer à une RIS pour déduire vos formations constellations, évaluations d’écoles, conférences pédagogiques… (voir ci-dessous notre rubrique : Les RIS : Pourquoi ? Comment ?)

Les RIS : Pourquoi ? Comment ?

PE : modèle de courrier à votre IEN

AESH : Modèle de courrier pour informer l’IEN
(et non pour demander l’autorisation)

Évaluation spécifique des directeurs : Pour le SNUDI-FO, c’est NON !

« Madame, Monsieur,
Vous êtes éligible en 2024-2025 à une évaluation au titre de vos fonctions de direction d’école, sous réserve d’exercer ces fonctions au 1er septembre 2024.
Pour votre information, vous trouverez en lien les modalités du dispositif d’évaluation.
Vous serez informé(e) de la date, de l’heure et du lieu de l’entretien par courriel au moins 15 jours calendaires avant la date de celui-ci. »

Voilà le message qu’ont reçu bon nombre de directeurs durant les congés d’été. Quelle est cette évaluation ? D’où vient-elle ?

-> Lire la suite du communiqué du SNUDI-FO

Carte scolaire : Ajustements de rentrée

Le CSA Départemental ayant à son ordre du jour les ajustements de rentrée en matière de carte scolaire s’est réuni ce jeudi 5 septembre.

Vous pourrez prendre connaissance de la déclaration liminaire de vos représentants FO, qui débutait par cette question : « Dans quelles conditions va se dérouler cette nouvelle année scolaire pour les enseignants et les élèves des écoles du Lot-et-Garonne ? »

Préambule

Réagissant aux déclarations liminaires, l’IA-Dasen a tenu à indiquer qu’il entendait notre ambition de faire plus et mieux pour les enseignants et les élèves, et qu’il la partageait. « Rien ne se fera sans dialogue a-t-il ajouté. Là où parfois nous différons, c’est sur les analyses, mais c’est intéressant de les confronter. »

Il a ensuite évoqué la question de l’école inclusive, « l’un des chantiers majeurs », mettant en exergue le fait que sur les quatre dernières années, nous sommes le département qui a augmenté le plus le nombre de ses AESH (20 points au-dessus de la moyenne nationale).

Notre commentaire : Certes, mais on ne peut régler le problème concret des élèves porteurs de handicap non accompagnés par une statistique.

Enfin, l’IA-Dasen a indiqué être déjà allé sur le terrain, où il dit avoir eu une perception différente de la nôtre : Beaucoup d’enthousiasme. Beaucoup d’enseignants sont heureux et motivés.

Notre commentaire : Qu’il reste des collègues heureux… encore heureux ! Quand à la motivation, on peut se retrouver en souffrance au travail et ne pas manquer de motivation pour l’exercice de son métier.

Ajustements de rentrée

Suite aux mesures de carte scolaire de février (pour rappel, deux postes ont été retirés au département pour cette rentrée), l’IA-Dasen disposait d’un reliquat de 0,27 ETP (équivalent temps plein).

L’administration a mis en évidence un certain nombre de situations où les effectifs ont évolué de manière significative à la hausse ou à la baisse depuis le CSA du 15 février. Parmi elles, deux écoles qui nous avaient confié leur dossier, craignant une fermeture : École maternelle La Goulfie (Agen) et École élémentaire Jean Jaurès (Fumel).

L’IA-Dasen a précisé sa méthode : « J’ai déjà engagé des échanges avec les maires pour comprendre les raisons de cette évolution des effectifs. Je vais continuer à instruire les situations, en prenant de la distance. Prendre des décisions à court terme ne me semble pas de bon aloi. »

Il a donc fait le choix, comme son prédécesseur, de ne pas fermer de classe à la rentrée.

Mesures arrêtées :

  • Maternelle du Centre (Fumel) : Mise à disposition d’un moyen ponctionné sur les postes brigades de remplacement et en conséquence passage de la décharge de direction de 0,25 à 0,33 (mesures provisoires)
  • Elémentaire Paul-Bert (Agen) : Passage de la décharge de direction de 0,33 à 0,50 en relation avec un projet centré sur la santé des élèves.

Vote : 2 contre (FO), 8 absentions ( FSU et UNSA)

Nous avons préalablement explicité notre votre contre : Si nous nous félicitons que l’IA-Dasen ne ferme pas de classe à la rentrée, et ne s’enferme pas dans une logique purement mathématique (prise en compte de la fragilité sociale des territoires), on ne peut oublier les dizaines de postes de RASED, de remplaçants, d’enseignants spécialisés indispensables qui ne sont pas créés, et les ouvertures nécessaires qui ne sont pas réalisées (c’est le cas en particulier à l’école primaire d’Estillac, à Barbaste et à la maternelle Marot de Villeneuve).

Questions diverses

a. Ressources humaines

– La balance postes/personnes est à l’équilibre… mais 5 à 6 collègues TR sont déjà positionnés sur des remplacements pour l’année.

– Ruptures conventionnelles : la totalité des demandes a été satisfaite (PE et AESH)

– PE stagiaires 2023-2024 : 31 titularisations, 3 prolongations, 2 renouvellements, 3 démissions et 1 licenciement

– 830 AESH en poste dans le département, mais les recrutements sont toujours en cours.

– Tous les contractuels en poste l’an dernier sont renouvelés sauf 2.

b. Dispositif lecture et fluence

Suite à une alerte de collègues, nous avions écrit au Dasen le 3 juillet concernant la mise en place d’un dispositif « lecture et fluence » dans les 30 écoles dites les plus fragiles au regard des évaluations nationales dès la rentrée du 2 septembre. En effet, ce dispositif a été dans une circonscription comme obligatoire, remettant en cause la liberté pédagogique.

En réponse, le Dasen a tenu à préciser : « J’ai demandé aux IEN de le proposer (souligné par nous) aux équipes des écoles sélectionnées. (…) Merci de votre alerte. Entendu. »

Notre commentaire : la réponse du Dasen confirme le caractère non obligatoire du dispositif. Si des collègues subissent des pressions, qu’ils n’hésitent pas à revenir vers nous.

c. Évaluation d’école

L’école élémentaire de Pujols nous avait sollicité pour formuler une demande de report. L’IEN a donné un avis favorable au report, « à titre exceptionnel ».

d. « Journée de la rectrice »

Nous avons rappelé notre position, fondée sur les textes réglementaires, à savoir que les obligations de service des professeurs des écoles, en dehors des heures d’enseignement, c’est  : 108 heures, pas une de plus. Cela fait bientôt deux ans que nous bataillons sur cette question. A plusieurs reprises au cours de la dernière année scolaire, l’administration s’est engagée à réinterroger les services de rectorat.

Réponse de M. Brabet, IEN adjoint : Même si le plan de formation n’est pas encore finalisé, on s’oriente vers un dispositif de 6 heures laissées aux équipes qui en auraient besoin, par exemple sur des projets Nefle, les projets d’école (suite aux évaluations d’école)… Cela se fera sans inscription.

Notre commentaire : De toute évidence, l’administration fait mine de ne pas comprendre notre revendication, à savoir que nos ORS, ce n’est pas 108 + 6, mais 108 heures, point. Néanmoins, notre acharnement semble commencer à porter ses fruits, puisqu’il n’évoque plus « 24 h de formation » avec inscription obligatoire. C’est un premier pas qui nous encourage à poursuivre. Car, pour reprendre un vieux slogan de FO, « vos droits sont notre seule loi ».

Rentrée scolaire

Se rassembler et combattre avec Force ouvrière sur les revendications !

Dans quelles conditions va se dérouler cette nouvelle année scolaire pour les enseignants et les élèves des écoles du Lot-et-Garonne ?

Madame Belloubet, « ministre démissionnaire » d’un gouvernement rejeté lors des dernières élections, a affirmé, dans sa conférence de presse du 27 août, que la rentrée scolaire était prête. Elle a aussi confirmé toutes les mesures d’austérité et les contre-réformes annoncées au printemps dernier (700 millions de coupes budgétaires, mise en œuvre du « choc des savoirs » et des groupes de niveaux, …) qui entraînent des milliers de fermetures de classes lors de cette rentrée.

Pour l’annulation des fermetures de classe, pour les ouvertures nécessaires et le recrutement de tous les personnels

Au CSA SD du 15 février, ce sont 15 classes qui ont été fermées pour cette rentrée, des ouvertures nécessaires n’ont pas été prononcées. Malgré une baisse du nombre d’élèves dans notre département, des classes vont se retrouver surchargées, dégradant les conditions d’enseignement des professeurs et les conditions d’apprentissage des élèves.

D’autant qu’à cela s’ajoute le manque criant de RASED, d’enseignants spécialisés, de dizaines de remplaçants pour assurer correctement le remplacement des collègues absents…

Il faut donc recruter massivement les personnels nécessaires.

-> Lors du CSA SD du jeudi 5 septembre, les délégués FO revendiqueront l’annulation des fermetures et défendront tous les dossiers qui lui auront été confiés (annulation de fermeture ou demande d’ouverture).

-> Le SNUDIFO47 invite les collègues à renseigner la fiche carte scolaire avec les informations actualisées en cette rentrée.

Une rentrée dont les élèves en situation de handicap sont les premières victimes

Et que dire des conditions d’accueil et de scolarisation des élèves en situation de handicap qui se dégradent en raison d’une politique d’inclusion scolaire à moindre coût ? La presse s’est fait l’écho la semaine dernière du manque d’AESH.
Et la ministre Belloubet a été contrainte de confirmer lors de sa conférence de presse que 24 000 élèves (chiffre largement sous-estimé) sont scolarisés en milieu ordinaire faute de places en établissements sociaux ou médico-sociaux. Conséquence de la mise en place à marche forcée de l’acte 2 de l’école inclusive, dont l’expérimentation des PAS (pôle d’appui à la scolarisation) dans quatre départements visant à remettre en cause l’application des notifications de la MDPH et ainsi dégrader encore plus l’accompagnement dû aux élèves en situation de handicap (lire le communiqué de la FNEC FP-FO). Le droit à l’instruction pour les élèves en situation de handicap, le droit pour tout élève de bénéficier d’une structure adaptée à la nature et au degré de son handicap sont remis en cause.

-> Le SNUDIFO47 invite les collègues à établir le nombre d’heures d’accompagnement non respectées, les AESH manquants, et à exiger de l’administration avec le syndicat les moyens indispensables.

Évaluations nationales

Dans le cadre du « choc des savoirs », la rentrée 2024 est marquée, dans le 1er degré, par une tentative ministérielle de généraliser les évaluations nationales, du CP au CM2. Le SNUDIFO47 rappelle que si l’évaluation des élèves fait partie intégrante du statut des professeurs des écoles (article 2 du décret du 1er août 1990 précisant « ils (les enseignants) procèdent à̀ une évaluation permanente du travail des élèves et apportent une aide à̀ leur travail personnel. »), aucun texte réglementaire ne préside à la mise en œuvre de ces dispositifs d’évaluation et aucun outil ne peut être imposé ! Le SNUDIFO47 rappelle que la liberté pédagogique existe ! Chaque enseignant est donc libre d’évaluer ses élèves de la manière qui lui paraît la plus appropriée !

Compte-rendu de la FSSSCT du 27 juin 2024

Lire la déclaration liminaire de la FNEC FP-FO 47.

A l’ordre du jour :

  • Organisation du travail et protection de la santé et de la sécurité des agents : circonscription École Inclusive 
  • Compte-rendu du GT (groupe de travail) fiches SST 
  • Bilan de l’action sociale en faveur des personnels
  • Comptes-rendus des visites du groupe scolaire Paul Langevin-Agen et de l’école élémentaire Jean Jaurès Fumel ainsi que de la visite inversée AESH
  • Bilan violence envers les personnels
  • Bilan des accidents de service et des demandes de protection fonctionnelle

-> Lire le compte-rendu établi par vos représentants FO du personnel.