Grève du 5 décembre | Promotions

Grève du jeudi 5 décembre 2013

Dernier délai le lundi 2 décembre à minuit pour votre déclaration préalable de grève (modèle en pièce jointe).

Assemblée Générale à 10h30, à l’IUFM, AGEN
Rassemblement à 14h, place de la Préfecture, AGEN
Départ de la manifestation à 14h30 vers l’Inspection Académique.

Avec FO c’est clair : suspension et abrogation de la réforme Peillon de territorialisation de l’école.

NON à l’école des territoires, OUI à l’école républicaine !

Nous vous proposons également en pièce jointe :
– une trame de motion d’école (à modifier et adapter selon vos souhaits ; envoyer une copie au syndicat ensuite)
– une modèle de lettre aux parents (à modifier et adapter selon vos souhaits)


Promotions

Les documents préparatoires sont arrivés…

Nous enverrons à chaque collègue qui a contacté le SNUDI FO une fiche récapitulative individuelle après la CAPD (qui peut modifier le projet fourni par l’administration en fonction des corrections éventuelles).

En attendant, vous pouvez appeler au syndicat ou vous rendre à notre permanence spéciale Promotions, au syndicat (Accès au Syndicat), ce mercredi 4 décembre, de 9h30 à 17h30, pour venir vérifier les éléments de votre barème et les améliorations éventuelles de votre traitement.

Grève UNITAIRE pour la suspension des rythmes scolaires

Jeudi 5 décembre, la grève unitaire pour la suspension du décret sur les rythmes scolaires.

Au niveau départemental et du 1er degré, les syndicats SNUipp, SNUDI FO et CGT Éduc’Action lancent un appel commun à la grève.

Au niveau national et interprofessionnel, les fédération FO, CGT et SUD de l’Éducation Nationale et des personnels territoriaux appellent à la grève pour la suspension et l’abrogation du décret sur les rythmes scolaires.

Le SNuipp appelle aussi à la grève nationale sur ses propres positions.

Cette fois-ci, toutes les conditions sont réunies pour que la mobilisation soit massive.

Le SNUDI FO vous propose de discuter dans chaque école de cette grève et de nous informer, si possible, du nombre de grévistes dans votre école.

– Avec cette grève, unitaire et nationale, vous avez la possibilité de refuser que chaque mairie décide des horaires scolaires et du PEDT qui ont une conséquence directe sur nos conditions de travail.

– Vous avez la possibilité de refuser cette école des territoires soumise à la concurrence, entre les écoles, entre les communes, entre les colléctivités territoriales.

– Vous avez la possibilité de refuser la remise en cause de notre statut, comme l’annualisation des obligations de services des remplaçants et des collègues sur des postes fractionnés, comme vient de le proposer le ministre aux syndicats.

Discutez-en dans votre école et décidez ensemble la grève.

Informez-nous de la situation.

Grève le jeudi 5 décembre 2013.

Assemblée Générale à 10h30, IUFM, AGEN

Rassemblement à 14h, place de la Préfecture à AGEN.

Départ de la manifestation à 14h30 vers l’Inspection Académique.

Grève UNITAIRE pour la suspension des rythmes scolaires

Jeudi 5 décembre, la grève unitaire pour la suspension du décret sur les rythmes scolaires.

Au niveau départemental et du 1er degré, les syndicats SNUipp, SNUDI FO et CGT Éduc’Action lancent un appel commun à la grève.

Au niveau national et interprofessionnel, les fédération FO, CGT et SUD de l’Éducation Nationale et des personnels territoriaux appellent à la grève pour la suspension et l’abrogation du décret sur les rythmes scolaires.

Le SNuipp appelle aussi à la grève nationale sur ses propres positions.

Cette fois-ci, toutes les conditions sont réunies pour que la mobilisation soit massive.

Le SNUDI FO vous propose de discuter dans chaque école de cette grève et de nous informer, si possible, du nombre de grévistes dans votre école.

– Avec cette grève, unitaire et nationale, vous avez la possibilité de refuser que chaque mairie décide des horaires scolaires et du PEDT qui ont une conséquence directe sur nos conditions de travail.

– Vous avez la possibilité de refuser cette école des territoires soumise à la concurrence, entre les écoles, entre les communes, entre les colléctivités territoriales.

– Vous avez la possibilité de refuser la remise en cause de notre statut, comme l’annualisation des obligations de services des remplaçants et des collègues sur des postes fractionnés, comme vient de le proposer le ministre aux syndicats.

Discutez-en dans votre école et décidez ensemble la grève.

Informez-nous de la situation.

Grève le jeudi 5 décembre 2013.

Rassemblement à 14h, place de la Préfecture à AGEN.

Départ de la manifestation à 14h30 vers l’Inspection Académique.

Jeudi 14 novembre : grève et rassemblement devant l’IA à 14h

jeudi 14 novembre 2013

Grève nationale pour la suspension de la réforme des rythmes scolaires,

contre le rattrapage d’une journée déjà travaillée.

Rassemblement à AGEN, devant l’Inspection Académique, à 14h.
En suivant, à 14h30, sur place : Assemblée des grévistes pour définir les revendications et les actions à mener pour obtenir satisfaction.

Rappel important : vous avez jusqu’à ce lundi 11 novembre minuit pour envoyer votre déclaration préalable de grève (modèle en document joint) par mail à l’IA (ce.ia47-per@ac-bordeaux.fr).


Mise au point et précisions à propos des 2 jours de grève dans le département.

Quelques collègues, parmi les nombreux qui regrettent légitimement la division syndicale alors que les raisons de faire grève sont nombreuses, seraient tentés de mettre le SNUDI FO et le SNUipp dans le même sac…

Précisons les choses.

Jeudi 14 novembre est une grève nationale : il y a un appel à la grève dans TOUS les départements, pour la suspension de la réforme des rythmes scolaire en particulier. Cet appel a été proposé par les fédérations nationales FO, CGT, SUD et FAEN. La FSU et le SNUipp n’ont pas souhaité s’y associer.

Les fédérations nationales FO et CGT des personnels territoriaux se sont associées à cet appel national pour la suspension de la réforme des rythmes scolaires.

-Dans certains départements, des sections du SNUipp appellent à la grève le 14 novembre pour la suspension de la réforme des ryhtmes scolaires.
-Dans d’autres départements, des sections du SNUipp n’appellent pas à la grève, ni le 13, ni le 14.
-Dans NOTRE département la section du SNUipp 47 a décidé d’appeler à la grève départementale le 13, la veille de la grève nationale.

La question à se poser est : comment un même syndicat peut-il avoir, suivant le département, 3 positions aussi différentes ? Ce problème est interne au SNUipp. FO n’a rien à y voir.

Le SNUDI FO 47 a tout fait pour que l’unité se fasse avec le SNUipp, jusqu’au dernier moment. C’est la raison de notre information tardive aux collègues.

Quand il y a un appel à une grève nationale , soit le SNUDI FO 47 y participe et il explique pourquoi, soit il n’y participe pas et il explique aussi pourquoi. Le SNUDI FO 47 n’a jamais proposé une grève départementale la veille sur des revendications similaires.

Cette même situation s’est d’ailleurs déjà produite, dans l’autre sens, l’année dernière : le SNUipp avait fait un appel sur les rythmes scolaires dans lequel nous ne retrouvions pas nos revendications. Pour éviter d’afficher une division syndicale qui n’avait pas lieu d’être nous avions informé le SNUipp que nous appelions le même jour, même rassemblement, même heure, mais sur nos propres positions pour respecter le mandat donné par nos adhérents.

Sur le fond, personne ne peut contester la position claire de FO, depuis le début, sur la question des rythmes scolaires : la question de la grève nationale pour l’abandon de cette réforme est posée depuis longtemps. Nous assumons cette position et libre à chacun de la partager ou pas.

Sur la question du rattrapage d’une journée déjà travaillée (la prérentrée) qui ouvre la porte à l’annualisation de notre service et au rattrapage des jours fériés, FO est le SEUL syndicat à l’avoir dénoncé et combattu. Le SNUipp et l’UNSA ont justifié par mail qu’il était normal de récupérer une journée au prétexte que nous la devions aux élèves, c’est seulement le mercredi qui leur pose problème. Pour FO il n’est pas question d’en rester là : si le ministre maintient cette journée supplémentaire de travail, il faut qu’il la paye.

Jeudi 14 novembre : grève et rassemblement devant l’IA à 14h

jeudi 14 novembre 2013

Grève nationale pour la suspension de la réforme des rythmes scolaires,

contre le rattrapage d’une journée déjà travaillée.

Rassemblement à AGEN, devant l’Inspection Académique, à 14h.
En suivant, à 14h30, sur place : Assemblée des grévistes pour définir les revendications et les actions à mener pour obtenir satisfaction.

Rappel important : vous avez jusqu’à ce lundi 11 novembre minuit pour envoyer votre déclaration préalable de grève (modèle en document joint) par mail à l’IA (ce.ia47-per@ac-bordeaux.fr).


Mise au point et précisions à propos des 2 jours de grève dans le département.

Quelques collègues, parmi les nombreux qui regrettent légitimement la division syndicale alors que les raisons de faire grève sont nombreuses, seraient tentés de mettre le SNUDI FO et le SNUipp dans le même sac…

Précisons les choses.

Jeudi 14 novembre est une grève nationale : il y a un appel à la grève dans TOUS les départements, pour la suspension de la réforme des rythmes scolaire en particulier. Cet appel a été proposé par les fédérations nationales FO, CGT, SUD et FAEN. La FSU et le SNUipp n’ont pas souhaité s’y associer.

Les fédérations nationales FO et CGT des personnels territoriaux se sont associées à cet appel national pour la suspension de la réforme des rythmes scolaires.

-Dans certains départements, des sections du SNUipp appellent à la grève le 14 novembre pour la suspension de la réforme des ryhtmes scolaires.
-Dans d’autres départements, des sections du SNUipp n’appellent pas à la grève, ni le 13, ni le 14.
-Dans NOTRE département la section du SNUipp 47 a décidé d’appeler à la grève départementale le 13, la veille de la grève nationale.

La question à se poser est : comment un même syndicat peut-il avoir, suivant le département, 3 positions aussi différentes ? Ce problème est interne au SNUipp. FO n’a rien à y voir.

Le SNUDI FO 47 a tout fait pour que l’unité se fasse avec le SNUipp, jusqu’au dernier moment. C’est la raison de notre information tardive aux collègues.

Quand il y a un appel à une grève nationale , soit le SNUDI FO 47 y participe et il explique pourquoi, soit il n’y participe pas et il explique aussi pourquoi. Le SNUDI FO 47 n’a jamais proposé une grève départementale la veille sur des revendications similaires.

Cette même situation s’est d’ailleurs déjà produite, dans l’autre sens, l’année dernière : le SNUipp avait fait un appel sur les rythmes scolaires dans lequel nous ne retrouvions pas nos revendications. Pour éviter d’afficher une division syndicale qui n’avait pas lieu d’être nous avions informé le SNUipp que nous appelions le même jour, même rassemblement, même heure, mais sur nos propres positions pour respecter le mandat donné par nos adhérents.

Sur le fond, personne ne peut contester la position claire de FO, depuis le début, sur la question des rythmes scolaires : la question de la grève nationale pour l’abandon de cette réforme est posée depuis longtemps. Nous assumons cette position et libre à chacun de la partager ou pas.

Sur la question du rattrapage d’une journée déjà travaillée (la prérentrée) qui ouvre la porte à l’annualisation de notre service et au rattrapage des jours fériés, FO est le SEUL syndicat à l’avoir dénoncé et combattu. Le SNUipp et l’UNSA ont justifié par mail qu’il était normal de récupérer une journée au prétexte que nous la devions aux élèves, c’est seulement le mercredi qui leur pose problème. Pour FO il n’est pas question d’en rester là : si le ministre maintient cette journée supplémentaire de travail, il faut qu’il la paye.

Grève Nationale et Unitaire le jeudi 14 novembre contre la réforme des rythmes scolaires

C’est un fait : depuis plusieurs semaines, la mobilisation contre la réforme des rythmes scolaires est en train de s’étendre, tant chez les parents d’élèves, les maires que dans les écoles, où les personnels et les élèves en subissent les conséquences désastreuses.

Alors que des communes suspendent l’application de la réforme, d’autres annoncent qu’elles n’appliqueront pas le décret en 2014.

C’est la voix du bon sens et de l’intérêt de tous !

C’est pour y répondre que les fédérations syndicales FO, CGT, SUD et FAEN de l’Enseignement et des personnels territoriaux réunies à Paris le 22 octobre ont décidé d’appeler l’ensemble des personnels de l’enseignement primaire et les agents territoriaux à la GRÈVE NATIONALE LE JEUDI 14 NOVEMBRE.
[[Précisons que la date du 14 novembre a été retenue pour la grève par les syndicats nationaux (SNUDI-FO, SNUIPP-FSU, CGT Education et SUD) dans le souci de ne pas exclure d’une grève nationale 20% des départements (qui pour diverses raisons ne récupèrent pas la pré-rentrée ce 13 novembre mais le 11 juin, et donc ne travaillent pas ce jour-là).]]
[[Sur un appel à la grève le 13 (rappelons que le ministre impose de rattraper la journée de prérentrée sous le prétexte que les élèves n’avaient pas cours ce jour-là) : FO est le SEUL syndicat à s’être battu pour que le ministre abandonne cette récupération car elle n’a aucun fondement légal, Si au moins le SNUipp, éventuellement l’UNSA, avaient rejoint FO sur cette position on n’aurait sûrement pas à travailler ce(s) mercredi en plus…]]

En conséquence, le SNUDI FO 47 appelle tous les enseignants du primaire à rejoindre ce mouvement national interprofessionnel (personnels enseignants et territoriaux) et intersyndical (FO, CGT, SUD, FAEN) pour la suspension immédiate de la mise en oeuvre de la réforme et l’abrogation du décret sur les rythmes scolaires.

Chaque jour l’unité pour faire céder le ministre s’élargit :

Après Paris et la Réunion, le SNUipp dans le Val de Marne, la Seine Maritime et le Vaucluse ont décidé d’appeler à la grève nationale le 14 novembre.

Le SNUipp du Rhône a consulté plus de 1000 collègues qui se sont prononcés à 64% pour la grève le 14 appelle ce jour-là.

Dans les Alpes-Maritimes, le SNUipp décide de modifier son appel à la grève le 13 pour le 14 novembre.

Ce ne sont que quelques exemples…

Pourquoi ce qui est possible dans ces départements ne pourrait pas l’être dans le Lot et Garonne ?

C’est en ce sens que nous avons discuté aujourd’hui en intersyndicale avec le SNUipp 47, lequel réserve sa réponse.

Si le SNUipp 47 maintient en l’état son appel à la grève le 13, on aboutirait à une situation encore inédite : des collègues dans une même école qui font grève pour la même revendication, la suspension de l’application de la réforme sur les rythmes scolaires, et qui pourraient s’opposer parce que les uns préfèrent le mercredi et les autres le jeudi… Le risque c’est la démobilisation prévisible des collègues.

Pour la défense de l’école républicaine, contre sa dislocation en école des territoires organisée par les PEdT, pour contraindre le ministre à abroger son décret du 24 janvier, avec les personnels territoriaux, avec la CGT, avec SUD, avec la FAEN, et si possible avec le SNUipp :

TOUS EN GRÈVE NATIONALE ET UNITAIRE LE JEUDI 14 NOVEMBRE !


Grève Nationale et Unitaire le jeudi 14 novembre contre la réforme des rythmes scolaires

C’est un fait : depuis plusieurs semaines, la mobilisation contre la réforme des rythmes scolaires est en train de s’étendre, tant chez les parents d’élèves, les maires que dans les écoles, où les personnels et les élèves en subissent les conséquences désastreuses.

Alors que des communes suspendent l’application de la réforme, d’autres annoncent qu’elles n’appliqueront pas le décret en 2014.

C’est la voix du bon sens et de l’intérêt de tous !

C’est pour y répondre que les fédérations syndicales FO, CGT, SUD et FAEN de l’Enseignement et des personnels territoriaux réunies à Paris le 22 octobre ont décidé d’appeler l’ensemble des personnels de l’enseignement primaire et les agents territoriaux à la GRÈVE NATIONALE LE JEUDI 14 NOVEMBRE.
[[Précisons que la date du 14 novembre a été retenue pour la grève par les syndicats nationaux (SNUDI-FO, SNUIPP-FSU, CGT Education et SUD) dans le souci de ne pas exclure d’une grève nationale 20% des départements (qui pour diverses raisons ne récupèrent pas la pré-rentrée ce 13 novembre mais le 11 juin, et donc ne travaillent pas ce jour-là).]]
[[Sur un appel à la grève le 13 (rappelons que le ministre impose de rattraper la journée de prérentrée sous le prétexte que les élèves n’avaient pas cours ce jour-là) : FO est le SEUL syndicat à s’être battu pour que le ministre abandonne cette récupération car elle n’a aucun fondement légal, Si au moins le SNUipp, éventuellement l’UNSA, avaient rejoint FO sur cette position on n’aurait sûrement pas à travailler ce(s) mercredi en plus…]]

En conséquence, le SNUDI FO 47 appelle tous les enseignants du primaire à rejoindre ce mouvement national interprofessionnel (personnels enseignants et territoriaux) et intersyndical (FO, CGT, SUD, FAEN) pour la suspension immédiate de la mise en oeuvre de la réforme et l’abrogation du décret sur les rythmes scolaires.

Chaque jour l’unité pour faire céder le ministre s’élargit :

Après Paris et la Réunion, le SNUipp dans le Val de Marne, la Seine Maritime et le Vaucluse ont décidé d’appeler à la grève nationale le 14 novembre.

Le SNUipp du Rhône a consulté plus de 1000 collègues qui se sont prononcés à 64% pour la grève le 14 appelle ce jour-là.

Dans les Alpes-Maritimes, le SNUipp décide de modifier son appel à la grève le 13 pour le 14 novembre.

Ce ne sont que quelques exemples…

Pourquoi ce qui est possible dans ces départements ne pourrait pas l’être dans le Lot et Garonne ?

C’est en ce sens que nous avons discuté aujourd’hui en intersyndicale avec le SNUipp 47, lequel réserve sa réponse.

Si le SNUipp 47 maintient en l’état son appel à la grève le 13, on aboutirait à une situation encore inédite : des collègues dans une même école qui font grève pour la même revendication, la suspension de l’application de la réforme sur les rythmes scolaires, et qui pourraient s’opposer parce que les uns préfèrent le mercredi et les autres le jeudi… Le risque c’est la démobilisation prévisible des collègues.

Pour la défense de l’école républicaine, contre sa dislocation en école des territoires organisée par les PEdT, pour contraindre le ministre à abroger son décret du 24 janvier, avec les personnels territoriaux, avec la CGT, avec SUD, avec la FAEN, et si possible avec le SNUipp :

TOUS EN GRÈVE NATIONALE ET UNITAIRE LE JEUDI 14 NOVEMBRE !


RIS Monflanquin | Journée de rattrapage

Réunion d’Information Syndicale

mercredi 9 octobre 2013 – 9h

école élémentaire de la Bastide

MONFLANQUIN

Nous proposons les points suivants :

? Obligations de Service

? Rythmes Scolaires

? Refondation

? Retraites

? et toutes vos questions…

Toutes les infos pratiques et le modèle de lettre à l’IEN


Non, il n’y a pas de jour à rattraper !

Lors de notre dernier mail nous expliquions pourquoi cette journée de rattrapage était injustifiée.

Vous en doutez encore ?

En dehors de l’analyse juridique que nous pouvons faire du code de l’Éducation, posez-vous ces questions de bon sens :

Pourquoi n’avons-nous jamais `rattrapé` cette journée de prérentrée les années précédentes ?

Faudra-t-il aussi `rattraper` les jours fériés lorsqu’ils tombent sur une journée de classe ?

Avec le `zonage` des vacances de printemps, certaines zones bénéficient d’un jour férié de plus ou de moins selon les années : ces jours ont-ils été `rattrapés` selon le principe que l’on `doit` 144 jours de cours ?

Au collèges, les 6èmes commencent le jour de la rentrée, les autres classes le suivant : Au lycée c’est pareil pour les secondes : les enseignants `rattrapent-ils` une journée au prétexte qu’il manque un jour scolarisé pour la majorité des classes ?

N’écoutez pas l’administration qui ne sait même pas si on doit rattraper un jour de congé ou le jour de prérentrée et qui se contente de répondre aux injonctions du ministre !

N’écoutez pas les syndicats qui voudraient vous faire croire qu’une année scolaire est définie en nombre de jours et non en nombre de semaines, et qui ouvrent la porte à la récupération des jours fériés (rappelons aussi que le leitmotiv de notre ministre est le raccourcissement des congés d’été) !

Signez la pétition (maintenant aussi en ligne) proposée par le SNUDI FO pour exiger du ministre qu’il abandonne cette journée de rattrapage :

Pétition contre la journée de rattrapage du 13 novembre (*)

Non, il n’y a pas de jour à rattraper !

Dans un courrier aux écoles, la DASEN informe que le mercredi 13 novembre sera travaillé toute la journée (pour les écoles à 4 jours) et le mercredi 11 juin (pour les écoles à 4,5 jours).

Dans l’arrêté ministériel sur le calendrier scolaire, il est écrit : `En 2013-2014, il est prévu de rattraper la journée du lundi 2 septembre 2013, non scolarisé pour les élèves, afin de respecter les 36 semaines légales de cours. Conformément à l’arrêté du 28 novembre 2012, ce rattrapage est prévu pendant des semaines comportant seulement 4 jours de cours : une journée est rattrapée au mois de novembre et/ou au mois de juin.

Il n’y a aucune ambiguïté sur le jour à rattraper, c’est bien la prérentrée. Or la DASEN, dans sa note, justifie ce mercredi travaillé par `une journée de congé devra être rattrapée`

Les collègues seront heureux d’apprendre que, selon la DASEN, nous sommes encore en congé le jour de prérentrée !

Cette erreur sera corrigée dans un second courrier quelques jours plus tard…

L’article L-521-1 du Code de l’Éducation qui traite de la durée de l’année scolaire précise bien que `l’année scolaire comporte 36 semaines au moins, réparties en 5 périodes de travail, de durée comparable (sic…)`. L’article L-521-1 du Code de l’Éducation est donc bien respecté, sans avoir à `rattraper` une journée.

Précisons que l’année dernière, 2 journées ont été rattrapées pour les 2 jours de congés supplémentaires à la Toussaint et pour respecter les 36 semaines de l’année scolaire : FO ne l’avait pas contesté. Cette année ce n’est pas le cas.
Certains diront que l’année scolaire comporte 36 semaines x 4 journées de cours, soit 144 jours : c’est faux !

Vous en doutez encore ?

En dehors de l’analyse juridique que nous pouvons faire du code de l’Éducation, posez-vous ces questions de bon sens :

Pourquoi n’avons-nous jamais `rattrapé` cette journée de prérentrée les années précédentes ?

Faudra-t-il aussi `rattraper` les jours fériés lorsqu’ils tombent sur une journée de classe ?

Avec le `zonage` des vacances de printemps, certaines zones bénéficient d’un jour férié de plus ou de moins selon les années : ces jours ont-ils été `rattrapés` selon le principe que l’on `doit` 144 jours de cours ?

Au collèges, les 6èmes commencent le jour de la rentrée, les autres classes le suivant : Au lycée c’est pareil pour les secondes : les enseignants `rattrapent-ils` une journée au prétexte qu’il manque un jour scolarisé pour la majorité des classes ?

N’écoutez pas l’administration qui ne sait même pas si on doit rattraper un jour de congé ou le jour de prérentrée et qui se contente de répondre aux injonctions du ministre !

N’écoutez pas les syndicats qui voudraient vous faire croire qu’une année scolaire est définie en nombre de jours et non en nombre de semaines, et qui ouvrent la porte à la récupération des jours fériés (rappelons aussi que le leitmotiv de notre ministre est le raccourcissement des congés d’été) !

Signez la pétition (maintenant aussi en ligne) proposée par le SNUDI FO pour exiger du ministre qu’il abandonne cette journée de rattrapage :

Pétition contre la journée de rattrapage du 13 novembre (*)

Pétition contre la journée de rattrapage du 13 novembre (*)

Les enseignants soussignés s’adressent au Ministre, au Recteur et à la DASEN pour leur demander de ne pas faire rattraper aux enseignants la journée de prérentrée du lundi 2 septembre 2013

La prérentrée est déjà une journée travaillée. L’article L 521-1 du code de l’Éducation est scrupuleusement respecté. Nous n’acceptons pas une journée de travail gratuit !

Non à la récupération du mercredi 13 novembre et/ou du mercredi 11 juin 2014 !