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Formation Continue : peut-on encore parler d’un droit ?

Vous avez dit « Groupe de travail » ?
Un constat s’impose : l’offre de stages définie est en lien avec la Loi Peillon dite de Refondation de l’Ecole : l’écrasante majorité des stages est à public désigné, cela représente 88 % de l’offre. A proprement parler, il conviendrait plutôt de parler non pas de stages de formation, mais de conformation aux orientations ministérielles.
Pour les stages à candidature (soit 5 stages !), les listes sont faites en amont par l’administration qui répartit les collègues en fonction des places disponibles et de leur barèmes.

Lire la suite de l’article en cliquant sur ce lien : Formation Continue : peut-on encore parler d’un droit ?


Quand le DASEN s’essaie au dialogue social…

Le SNUDI FO a répondu à l’invitation du DASEN et a donc été reçu le 5 octobre.Retour ligne automatique
Si nous avons pu aborder les points que nous souhaitions, force est de constater que l’administration nous a juste écouté poliment.

Lire notre compte-rendu en cliquant sur ce lien : Quand le DASEN s’essaie au dialogue social…


Planning des Réunions d’Information Syndicales FO

Pour rappel, la programmation des RIS FO est affichée ici : Planning des Réunions d’Information Syndicales FO

Formation Continue : peut-on encore parler d’un droit ?

Vous avez dit « Groupe de travail » ?
Un constat s’impose : l’offre de stages définie est en lien avec la Loi Peillon dite de Refondation de l’Ecole : l’écrasante majorité des stages est à public désigné, cela représente 88 % de l’offre. A proprement parler, il conviendrait plutôt de parler non pas de stages de formation, mais de conformation aux orientations ministérielles.
Pour les stages à candidature (soit 5 stages !), les listes sont faites en amont par l’administration qui répartit les collègues en fonction des places disponibles et de leur barèmes.

Formation continue ?
Ce plan de formation 2015-2016 n’est que la continuité des animations pédagogiques : on désigne, on rend obligatoire certains pans sur lesquels l’administration veut bien que vous soyez formés !
? Contactez-nous pour connaître les résultats.

Une offre alléchante 😉
Parmi ces 5 stages, figure celui intitulé « Travailler l’articulation entre projet d’école et PEdT, entre enseignants et animateurs » (tout un programme…). Il n’a recueilli que 5 inscriptions sur 16 places disponibles, ce qui n’est pas pour nous surprendre. L’administration a donc décidé de rouvrir les inscriptions à la rentrée des vacances pour tenter d’obtenir d’autres participants…
Si aussi peu de collègues se sentent concernés, c’est peut-être parce que cela ne répond pas à leurs attentes de formation !

La généralisation des PEdT s’inscrit directement dans la territorialisation de l’Ecole et remet en cause nos garanties statutaires. En proposant ce stage, l’administration institutionnalise ce fonctionnement.

Elle refuse d’annuler ce stage et d’en dédoubler un autre au profit de collègues qui sont sur listes complémentaires. Elle rétorque qu’il faut « travailler le plus étroitement possible avec les municipalités », que c’est « une collaboration qui sera nécessaire » et que « ça la dérange d’annuler ». Elle évoque même les prochains « projets de secteur », qui seront visiblement amenés à remplacer les projets d’école.

En clair, l’administration se positionne pour accompagner, voire accélérer, le processus qui vise à nous placer sous la coupe des élus locaux et associations diverses.
? Ces questions sont parmi celles que nous abordons en Réunions d’informations syndicales : participez nombreux.

La retraite : tous concernés !

FO, l’un des principaux artisans du régime des retraites complémentaires (AGIRC et ARRCO) depuis ses origines, a refusé de signer le dernier projet d’accord car il est inacceptable

De 62 à 63 ans !
Cet accord recule de 62 à 63 ans l’âge permettant de bénéficier de la pension complémentaire à taux plein. Il ouvre la voie, après les élections présidentielles, à un recul pour tous (privé et public) de l’âge légal ou à une augmentation de la durée de cotisation.

La « solidarité » dévoyée .
L’accord inflige, à partir de 2019, à tous les salariés qui remplissent les conditions d’un départ à taux plein au régime de base, quel que soit leur âge, un coefficient dit « de solidarité », en fait un abattement de la pension complémentaire de 10 % par an pendant trois ans (-50 euros par mois pour une retraite mensuelle nette de 1300 euros). Seule issue pour échapper à cette sanction, « prolonger son activité professionnelle pendant quatre trimestres».
Non seulement quasiment personne ne sera épargné, mais certaines catégories plus fragiles (femmes, invalides, seniors au chômage, salariés en situation de pénibilité) seront durement frappées.

Les pauvres épargnés ?
Les signataires de l’accord ont prévu de préserver des abattements les nouveaux pensionnés exonérés de CSG. Pour une personne seule, le seuil d’exonération de la CSG est de 890 euros mensuels, inférieur au seuil de pauvreté (environ 987 euros) !
Ceux, au sort un peu moins défavorable, grâce au revenu de leur conjoint par exemple, ne seront cependant pas épargnés. En effet, l’exonération de la CSG dépend du revenu de l’ensemble du foyer.

On change la nature du système : Un accord totalement déséquilibré .
Les efforts demandés ne permettront pas d’équilibrer les finances du régime (8,6 milliards d’euros au lieu de 12,7 milliards nécessaires en 2030), et pèseront à 90 % sur les actifs et les retraités (sous indexation des retraites complémentaires, décalage de la date de revalorisation du 1er avril au 1er novembre, augmentation du coût d’achat du point, cotisations…).

Mais comme le monde n’est jamais assez beau pour le patronat, le gouvernement s’est engagé à « accompagner » la signature : en clair, la part patronale sera compensée par une nouvelle exonération ou une compensation prise sur les cotisations AT/MP, pacte de responsabilité oblige !

A la conférence sociale le président du Medef a remercié le gouvernement…
Il peut car si le gouvernement veut changer le système, il ne change surtout pas ce qui porterait atteinte aux avantages des privilégiés… Les retraites des députés, des sénateurs, des ministres ne sont pas touchées, on ébranle le système « par répartition » mais on ne l’aide pas par une taxe sur les revenus et transactions boursières, les cadeaux faits au patronat depuis dix ans n’ont pas résorbé le chômage – quelle surprise – et donc le nombre de cotisants ne monte pas, tout comme les salaires…
La liste est longue pour démontrer l’entreprise de destruction des principes fondateurs de la République !

Dans les pays – comme la Nouvelle Zélande – où l’âge de la retraite est à 70 ans (ce qui ne saurait tarder pour nous), les études montrent qu’un tiers des salariés meurt avant l’âge de la retraite, au travail… Un autre tiers ne profite pas de sa retraite en décédant dans les cinq années qui suivent la fin de son activité salariée. Un tiers seulement en profite et la répartition sociale de ces chanceux n’est très `populaire`…

Alors, quand un accord est bon on le signe et on le défend.
Quand il est mauvais on ne le signe pas et on le dénonce.

RIS FO à MONFLANQUIN le 15/10

Réunion d’Information Syndicale FO

École élémentaire de MONFLANQUIN, jeudi 15 octobre, 17h15

Au sommaire :
– le PPCR c’est quoi ?
– les Rythmes Scolaires : quelques dégradations concrètes de notre travail
– Relation Hiérarchie / Enseignants : un tour de vis supplémentaire.

Venez nombreux poser librement toutes vos questions aux délégués FO tout en profitant du magnifique panorama devant l’école de Monflanquin.

Pour participer, rien de plus simple : vous adaptez le modèle de lettre (ci-joint) que vous envoyez à votre IEN 48h avant la réunion.
Vous pourrez défalquer 3h de vos animations pédagogiques.

Pour vous informer, pour discuter et échanger sur nos conditions de travail, participez aux Réunions d’Information Syndicale.


Le planning des RIS 2015 / 2016 ici : Planning des Réunions d’Information Syndicales FO]


Carrière des fonctionnaires : Manuel Valls lance le 49-3 du dialogue social !

Le Premier Ministre vient d’enterrer le dialogue social dans la Fonction publique et la crédibilité du gouvernement.

Depuis des mois la Ministre de la Fonction publique claironne que sans accord majoritaire, le gouvernement ne mettra pas en œuvre le protocole. Au lendemain de la date butoir permettant de définir les positions des organisations syndicales, le Premier ministre désavoue immédiatement sa Ministre.

FO a jugé cet accord inacceptable, la CGT et Solidaires l’ont rejeté, celui-ci n’a donc pas recueilli les 50% nécessaires à son application.

Le quinquennat du Président de la République placé sous le signe du dialogue social vient donc de changer de cap.

En débutant par une grande conférence sociale dès son arrivée au pouvoir pour terminer par une mascarade du dialogue social.

Le gouvernement bafoue les règles du dialogue social, et suite aux propos récents du Ministre Emmanuel Macron sur l’attaque en règle du statut des fonctionnaires, on peut dorénavant craindre que le passage en force devienne la règle de gouvernance.

Le Gouvernement instaure le 49-3 du dialogue social dans la Fonction publique !!!

C’est bien la démonstration de l’inutilité des accords de Bercy que Force Ouvrière a maintes fois dénoncés.

Dans l’immédiat FO exige la revalorisation de la valeur du point d’indice servant au calcul du traitement des fonctionnaires (8% d’augmentation et 50 points d’indice) et combattra toutes tentatives de remise en cause du statut général des fonctionnaires.

INEAT / EXEAT | RIS FO

INEAT / EXEAT : en réponse au SNUipp

Après la lecture du dernier mail du SNUipp 47 qui met en cause le SNUDI FO sur la question des INEAT / EXEAT, et s’il n’est pas dans nos habitudes de répondre aux polémiques stériles, l’affirmation que le SNUDI FO n’aurait pas défendu les collègues mérite une réponse.
La question des INEAT / EXEAT est très complexe et la présentation simpliste du SNUipp est mensongère à plus d’un titre.

Nous vous invitons à lire l’article en cliquant sur ce lien : INEAT / EXEAT, Mutations Informatisées


Réunions d’Information Syndicale

Nous vous invitons à prendre connaissance des premières dates de Réunions d’Information Syndicale et de venir en discuter avec nous.

Si vous souhaitez que le SNUDI FO organise une réunion d’information syndicale dans votre école, sur un thème précis ou pas, n’hésitez pas à nous demander : nous viendrons !

Toutes les RIS (article régulièrement mis à jour) en cliquant sur ce lien : Planning des Réunions d’Information Syndicales FO

1er Trimestre


1 VILLENEUVE École élémentaire F. Buisson Jeudi 8 octobre 17h
2 MONFLANQUIN École élémentaire jeudi 15 octobre 16h30
3 AIGUILLON École Élémentaire Marcel Pagnol Mardi 17 novembre 16h
4 BOE École élémentaire Jeudi 19 novembre 17h
5 AGEN SPÉCIALE MOUVEMENT NATIONAL Union départementale FO Lundi 23 Novembre 17h
6 BEAUVILLE École primaire Jeudi 26 novembre 16h30

2d Trimestre


7 AGEN SPÉCIALE MOUVEMENT DÉPARTEMENTAL Union départementale FO Mardi 5 avril (sous réserve du calendrier administratif) 17h

INEAT / EXEAT, Mutations Informatisées

Extrait de la lettre aux écoles du SNUipp 47 :
« Retour sur la CAPD de septembre : exéat-inéat
La phase manuelle des permutations (aussi appelée inéat-exéat) devrait se baser sur le barème national de la phase informatisée. Si ce barème n’est pas parfait, il a au moins l’avantage d’être le même pour toutes et tous, et de classer les collègues autrement qu’avec des passe-droits.
De plus en plus l’IA du 47, et ses homologues de l’académie de Bordeaux, piochent à leur convenance dans la liste et octroient le précieux sésame en dehors de toute équité en niant toute reconnaissance des situations familiales ou difficiles des collègues.
Le SNUipp-FSU 47 s’est insurgé contre de telles pratiques et l’a fait savoir à l’IA du 47 lors de la CAPD du 4 septembre.
Après de nombreuses démarches du SNUipp-FSU, les collègues qui avaient les barèmes les plus importants ont finalement été intégrées dans le département demandé !
Pour information seul le SNUipp-FSU a bataillé pour rétablir leur droit. Nous considérons que des représentant-es des personnels sont élu-es par et pour les collègues, qu’il-elles soient syndiqué-es ou non ! »


Non ! Le SNUipp 47 n’a pas le monopole de la défense des collègues qu’ils soient syndiqués ou non !
Oui ! Le SNUipp 47 fait preuve de malhonnêteté intellectuelle en faisant croire que les autres syndicats ne sont pas intervenus lors de la dernière CAPD !
Et oui ! Il y a un débat, mais uniquement sur la question des critères du classement des demandes d’INEAT / EXEAT !

L’analyse du barème

Le barème est fixé en fonction de critères dans la circulaire des permutations informatisées qui paraît courant novembre. Il prend en compte la situation personnelle (marié, pacsé, enfants, RQTH) et administrative (ancienneté dans le département, échelon, exercice en REP, académie non limitrophe, renouvellement du vœu 1) de chaque collègue. Pour les INEAT / EXEAT, c’est le barème des permutations informatisées qui fait foi.
Si le SNUDI FO est invité par le ministère à discuter du contenu du barème, à l’instar des autres syndicats, tout n’est pas retenu, loin de là.

En l’état, le SNUDI FO fait le constat suivant :

le barème pénalise les collègues qui n’ont pas d’enfants : il existe des couples qui n’en veulent pas, il existe des couples homosexuels, il existe des couples stériles, il existe des couples sans enfant mais qui sont en procédure d’adoption depuis de longues années.

Le barème pénalise les collègues qui sont en départements limitrophes ou en académie limitrophe : ils ne bénéficient pas de la bonification supplémentaire et restent coincés dans le département qu’ils veulent quitter depuis de longues années, aggravant un peu plus leurs situations psychologique et financière.

Le barème pénalise les collègues à partir de 4 années de demande : il ne progresse plus, sauf pour les misérables 5 points de renouvellement du vœu 1.

Le barème pénalise les collègues obligés de se mettre en disponibilité ou en congé parental pour suivre leur conjoint : l’ancienneté comptabilisée est réduite.

Le barème pénalise les collègues divorcé(e)s qui demandent une mutation pour se rapprocher du lieu de résidence de l’enfant dans le cadre d’une garde partagée.

Le barème n’est pas un garde-fou aux passe-droits. Ainsi, le SNUDI FO a pointé du doigt le barème d’un collègue venant d’un autre département qui était anormalement élevé et qui ne correspondait à rien. Sans notre intervention, cette personne aurait pris la place de quelqu’un d’autre. Et le barème n’a pas empêché la conseillère pédagogique ASH de sortir du 47 et de passer devant tout le monde !

Ces situations sont réelles : nous défendons ou nous avons défendu des dossiers de ce type chaque année.

Nous rappelons que, légalement, le barème ne revêt qu’un caractère indicatif (Note de service 2014-144 du 6 novembre 2014).

Les propositions du SNUDI FO

Bien évidemment, sur la phase informatisée des mutations, le SNUDI FO ne remet pas en cause le barème, malgré ses défauts listés ci-dessus.
La phase des INEAT / EXEAT permet justement de pouvoir défendre ces collègues qui n’ont aucune chance de muter si on continue à tenir uniquement compte de ce barème.

Nous avons proposé les critères suivants, par ordre de priorité :
– les priorités légales (rapprochement de conjoints, RQTH…),
– l’ancienneté de la demande,
– le barème.

Nous avons démontré, exemples à l’appui, en réunion intersyndicale avant la CAPD et lors de chaque CAPD, que seule l’ancienneté de la demande permet de mettre tous les collègues au même niveau, sans double ou triple peine. Que seule l’ancienneté de la demande permet de résoudre les situations de collègues qui attendent depuis de longues années, et dont les situations personnelles sont insupportables.
Notre proposition est appliquée dans toute l’académie de Toulouse, en Gironde, dans les Landes…
Si le barème est tellement équitable, pour le SNUipp 47, comment se fait-il que le SNUipp 40 et le SNUipp 33 ne partagent pas leur avis et acceptent le critère de l’ancienneté de la demande ?
En Lot et Garonne, le DASEN se retranche devant l’absence de consensus syndical pour maintenir une règle dont nous venons de démontrer le caractère inadapté et injuste.

Notre proposition ne remet pas en cause l’égalité de traitement : c’est la même règle pour tous. Nous remettons en cause l’injustice de certains situations qui ne seront jamais étudiées.

Répétons-le, nous assumons notre analyse, s’en tenir au seul barème pour la phase des INEAT / EXEAT c’est prendre la responsabilité de maintenir des collègues en très grande difficulté psychologique et financière sans aucun espoir de mutation.

Des critères différents qui compliquent encore les INEAT / EXEAT

Chaque CAPD détermine quels critères sont appliqués pour les demandes d’INEAT et d’EXEAT. Dans la plupart des cas, une autorisation de quitter le département est compensée par une entrée. Lors de la dernière CAPD, les échanges avec la Gironde ont posé problème car les critères de Gironde mettent en priorité l’ancienneté de la demande, et pas le Lot et Garonne. Pour aller au bout de l’explication, il s’avère que les informations sur les documents de la CAPD 33 étaient différentes de celles de la CAPD 47 : la Gironde a finalement imposé ses critères… Ce que le SNUDI FO a dénoncé pendant la CAPD.

Comme on peut le constater, la défense des dossiers d’INEAT / EXEAT est une affaire complexe qui mérite un autre traitement que les déclarations simplistes et mensongères du SNUipp. On peut être en désaccord sur certains points sans pour autant accuser les autres syndicats de ne pas défendre les collègues, ou alors il faut aller au bout du raisonnement.
Après la CAPD, le SNUDI FO a écrit au DASEN pour lui demander d’étudier de nouvelles possibilités d’échanges que nous avons relevées.


Le SNUDI FO organise une réunion d’information syndicale spéciale mouvement national et INEAT / EXEAT le lundi 23 novembre 2015 à AGEN, car si les INEAT / EXEAT sont complexes, la phase informatisée ne l’est pas moins… Ce n’est pas parce que vous avez un gros barème que vous muterez automatiquement !
Nous invitons tous les collègues qui souhaitent changer de département à participer à cette réunion pour s’informer exhaustivement et poser toutes les questions qu’ils souhaitent.

Planning des Réunions d’Information Syndicales FO

Ingérences de mairies et de parents, exigences démesurées de notre administration, classes surchargées avec un nombre croissants d’élèves en difficulté, remise en cause de la liberté pédagogique, réunions sur les projets, les projets sur les projets, l’épuisement…

Des enseignants, de plus en plus nombreux souffrent au quotidien, ils s’adressent au syndicat qui fait tout ce qu’il peut pour les défendre, jour après jour.

Toutes ces dégradations de nos conditions de travail, constatées par tous, sont la conséquence directe des contre-réformes qui nous sont imposées, année après année.

Les enseignants peuvent compter jusqu’au bout sur le SNUDI FO pour informer les collègues, pour défendre au quotidien leurs conditions de travail et pour tout mettre en oeuvre pour combattre les contre-réformes qui en sont la cause.

Nous vous invitons à prendre connaissance des premières dates de Réunions d’Information Syndicale et de venir en discuter avec nous.

Si vous souhaitez que le SNUDI FO fasse une réunion d’information syndicale dans votre école, sur un thème précis ou pas, n’hésitez pas à nous demander : nous viendrons !

1er Trimestre


1 MONFLANQUIN École élémentaire jeudi 6 octobre 17h
2 AGEN Union départementale FO mardi 18 octobre 17h30
3 AIGUILLON École maternelle Jaurès mardi 22 novembre 17h
4 MARMANDE École élementaire Herriot mardi 29 novembre 17h
5 VILLENEUVE Mairie de Villeneuve (Salle 4) jeudi 1er décembre 17h30

RIS prévues au cours de l’année


6 CASTILLONÈS
7 VILLERÉAL
8 ST PARDOUX ISAAC
9 BEAUVILLE
10 AGEN (Spéciale Mouvement)
11 NERAC
12 BOÉ

Prime d’entrée dans le métier : pas pour tout le monde…

Prime d’entrée dans le métier : une même indemnité mais des droits différents en fonction de la date du concours et du statut du stagiaire.

Le décret 2014-1007 du 4 septembre 2014 a modifié le décret 2008-926 qui instituait une prime d’entrée dans le métier.

Décret 2008-926 du 12 septembre 2008
Sont concernés tous les stagiaires dont le registre d’inscription a été ouvert avant le 10 septembre 2013. En clair, tous les stagiaires qui ont passé le concours «normal» avant 2014 et ceux qui ont passé le concours exceptionnel
(ceux qui ont passé les écrits une année et les oraux l’année d’après). On pourrait résumer à : tous les stagiaires intégrés au 3e échelon (PES : professeurs des écoles stagiaires).

Tous ont droit à cette prime d’entrée dans le métier, sans restriction.

Décret 2014-1007 du 4 septembre 2014 modifiant le décret 2008-926 du 12 septembre 2008
La modification concerne tous les stagiaires dont le registre d’inscription a été ouvert à compter du 10 septembre 2013. En clair, tous les stagiaires qui ont passé le concours «normal» à partir de 2014. On pourrait résumer à : tous les stagiaires intégrés au 1e échelon (EFS : étudiants fonctionnaires stagiaires).

Certains ont droit à cette prime d’entrée dans le métier MAIS sont exclus du droit à cette prime tous les collègues qui ont été contractuels durant 3 mois ou plus avant leur prise de fonction en tant que stagiaires.
En revanche, ils peuvent demander leur reclassement dans un échelon supérieur.

Le montant de la prime est de 1500 € et elle est versée en deux fois.

Cette différence de traitement pour les collègues stagiaires est inadmissible ! Le SnudiFO se battra au National contre cette mesure injuste.