Libres, Indépendants, Déterminés !
Nous sommes libres car en adhérant au syndicat, nous avons choisi de nous organiser librement pour défendre collectivement nos intérêts matériels et moraux.
Nous sommes indépendants car nos intérêts communs ne sauraient dépendre d’un quelconque mouvement politique, religieux, philosophique ou pédagogique.
Nous sommes déterminés parce que l’action du syndicat résulte de la volonté et de la décision de ses adhérents.
Pour s’organiser librement, pour rester indépendant, le syndicat ne doit dépendre que des cotisations de ses adhérents.
Pourquoi ils ont adhéré à FO
? La Proximité
? « J’étais une ancienne adhérente, dans un autre département, car le secrétaire départemental était très présent humainement, très à l’écoute sur le terrain (sans être envahissant). Dans ce département, je n’avais pas repris contact, j’avais laissé tomber… Jusqu’au jour où dans mon école 2 collègues sont passés, juste pour nous rencontrer avec en prime le sourire. Ce jour-là je n’ai même pas eu le temps de discuter avec eux mais la démarche m’a plue et m’a rappelée la proximité sur le plan humain des militants de ce syndicat. »
? L’Intégrité
? « J’avais besoin de pouvoir échanger avec des syndicalistes gérant déjà des dossiers de salariés en contrat précaire comme moi et d’être soutenue. FO est le syndicat qui me semble le plus intègre et qui représente le mieux mes convictions (en particulier lors du conflit sur les retraites). »
? Des Revendications Claires
? « J’ai découvert FO lors de la mise en place de l’aide personnalisée : une position claire et nette, contrairement aux autres syndicats… Je me suis retrouvée dans cette façon de penser, les collègues se sont sentis soutenus. »
? « Des positions et des actions claires : un syndicat qui dit ce qu’il fait et surtout qui fait ce qu’il dit ! »
? « Lors des manifestations les mots d’ordre, très ciblés sur des possibles réalistes, tout en étant ambitieux, reflétaient l’expression de mes attentes. »
? L’Information
? « Après 17 ans de métier, j’ai eu l’occasion de tester la réactivité et l’efficacité des différents syndicats… Avec FO, j’ai toujours eu un éventail de réponses avec, pour chacune, les avantages et les inconvénients, me permettant d’effectuer un choix personnel, véritablement informée. »
? Des Analyses Vérifiées
? « À l’époque des consultations-alibis sur les décrets, nous avons eu la visite d’un militant FO. Je l’ai reçu plutôt froidement, j’étais en classe, il me dérangeait… Ceci dit, j’ai réuni mes collègues et on a pris le temps de l’écouter parler avec passion du danger que représentaient ces décrets Darcos. Il semblait honnête et sincère quand il s’énervait de voir notre métier se faire vendre au privé. Son engagement m’a plu, ses idées faisaient écho au bon sens et il éclairait d’un jour nouveau pas mal de trucs sordides qui étaient en train de se tramer en coulisses. Depuis, on a vu l’aide personnalisée, notre statut de fonctionnaire d’état remis en cause, la gestation des EPEP, la destruction des RASED… Autant de choses qui nous ont été annoncées par FO.
Alors, visionnaires ou juste capables d’anticiper les enjeux réels en lisant au-delà des lignes ? Pour ma part, j’ai choisi. »
? L’Interpro
? « Pour être syndiqué en tant qu’enseignant dans le même syndicat qu’un fonctionnaire ou qu’un salarié du privé. Depuis j’ai eu l’occasion de travailler avec ces camarades et je ne suis pas décu. »
? L’Indépendance
? « J’ai très longtemps adhéré à un syndicat dit Réformiste car je croyais que les institutions, comme l’École, pouvaient s’améliorer de l’intérieur. Je devais constater au fil du temps que le mot Réformes était en fait employé par les politiques pour habiller les casses sociales. Le rôle du syndicat n’est pas d’accompagner les volontés destructrices du capital pour les rendre moins douloureuses. Je suivais depuis un moment FO et j’ai trouvé que le discours était clair, concis et univoque, proche des soucis dans les classes. D’où ma demande d’asile syndical chez FO après des années d’égarement. »
? Le Contact
? « Indéniablement, le contact direct sur le lieu de travail avec les militants FO a favorisé mon adhésion. Avec tout autre syndicat, la discussion aurait pu être vive, virulente même, mais expédiée tant leurs préoccupations, souvent décentrées et généralistes, m’ont exclues naturellement de leurs rangs. Ancienne syndiquée au SNI, je ne suis donc pas devenue fonctionnaire d’un syndicat majoritaire imbu. Cependant, après nombre de déceptions syndicales, mes convictions ont trouvé un écho avec FO. »
? L’Aide Personnalisée
? « À la mise en place de l’aide Personnalisée, regrettant la frilosité et le manque de réaction immédiate des syndicats, j’ai dans un 1er temps participé au mouvement des enseignants en résistance : le mouvement n’a pas été suffisant pris en compte par les syndicats, la presse, les décideurs et n’a donc pas été reconnu comme une force crédible.
J’ai alors assisté aux réunions syndicales d’information (FSU et FO). Très vite, il m’est apparu que la vision de FO sur les bouleversements en cours et à venir, leurs revendications claires et sans ambiguïté recoupaient celles du mouvement. Il m’a semblé opportun d’essayer de ce côté-là, en me syndiquant. Mais tout reste à faire… »
? Le Soutien
? « Face à une situation qui me dépassait, j’ai trouvé quelqu’un qui m’a donné ce que j’attendais : écoute, efficacité, disponibilité et soutien moral. Je l’en remercie de tout coeur. »
? Les Conditions de Travail
? « Le discours de FO est bien moins rigide que de nombreux autres qui ne tiennent pas toujours compte des situations particulières d’exercice du métier d’enseignant. »
? « À FO ils ne mélangent pas la pédagogie et les conditions de travail. Dans le syndicat je ne veux pas parler de pédagogie, je veux être défendu. »