Grève et Manifestation le 15 mai

Alors que Darcos persiste à vouloir imposer l’annualisation de 108 heures de notre service, les stages de remise à niveau et son dispositif de garderie pendant les grèves…

Alors qu’il précise que le `rôle des enseignants qui exercent en RASED devra évoluer`, que sa réforme aura ‘`l’avantage d’éviter une dispersion inutilement coûteuse et de cibler les interventions spécialisées sur la plus grande difficulté`, que l’expérimentation des EPEP débutera à la rentrée 2009…

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Appel des enseignants réunis à tous les collègues

Les 30 enseignants présents lors de la réunion d’information syndicale du 15 avril organisée par le Snudi Fo ont discuté du relevé de conclusions, des stages de remise à niveau, des nouveaux programmes et du développement de la précarité dans la Fonction Publique.

L’examen de ces mesures démontre qu’elles n’ont pas pour objectif d’améliorer le système éducatif, de diminuer l’échec scolaire, d’améliorer nos conditions de travail ou d’augmenter nos salaires.

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La grève dans l’unité des syndicats est à l’ordre du jour !

Le SNUDI-FO porte à la connaissance de tous les résultats de la journée de grève qui a eu lieu le 3 avril dans le Maine et Loire à l’appel du SNUDI-FO, du SNUipp et de SUD.

Le SNUDI-FO considère que l’assemblée des grévistes réunie avec le SNUipp, le SNUDI-FO et SUD a totalement raison de s’adresser aux syndicats nationaux pour préparer une mobilisation générale, y compris sous forme de grève reconductible, seule à même de faire reculer le ministre et d’obtenir le retrait des mesures DARCOS.

Pour sa part, le SNUDI-FO, qui s’est déjà adressé au SNUipp, se déclare prêt à répondre à cet appel et se déclare partisan de l’action commune à tous les niveaux.

C’est pourquoi il invite ses sections et syndicats départementaux à faire connaître l’initiative du Maine et Loire et à chercher des initiatives du même type, s’appuyant sur les assemblées d’école et de secteur.

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Grève du 24 janvier : un appel interprofessionnel de la CGT-FO

Déclaration de la Commission Exécutive Confédérale

La Commission Exécutive de la CGT Force Ouvrière réaffirme que la revendication de l’augmentation du pouvoir d’achat des salaires et retraites est prioritaire et incontournable.

Elle décide d’appeler l’ensemble des salariés du privé et du public à manifester solidairement le jeudi 24 janvier 2008 pour l’augmentation des salaires, retraites et minima sociaux.

Adoptée à l’unanimité,

le jeudi 20 décembre 2007

Négociations salariales dans la Fonction Publique

La forte mobilisation du 20 novembre 2007 a contraint le gouvernement à ouvrir une négociation salariale ce lundi 17 décembre 2007.

Or, les propositions qui ont été faites par le ministre chargé de la fonction publique ne sont pas acceptables tant sur la forme que sur le fond.

En effet, le gouvernement refuse d’accorder une mesure générale de revalorisation du point d’indice, seule à même d’assurer un réel maintien du pouvoir d’achat pour l’ensemble des agents de la fonction publique.

Au contraire, il persiste à faire entrer dans le maintien du pouvoir d’achat des mesures individuelles de promotion (glissement vieillesse technicité), ce qui revient à nier le principe même de déroulement de carrière.

Ces pseudo négociations ne peuvent donc nous convenir car elles portent atteinte de façon frontale aux principes même de la négociation collective des salaires dans la fonction publique pour les remplacer par une individualisation des rémunérations.

Les mesures de gestion des ressources humaines annoncées dans le cadre de la réforme des politiques publiques heurtent également de façon frontale les fondamentaux du statut général de la fonction publique et vont contribuer à amplifier les suppressions d’emplois.

Pour l’ensemble de ces raisons, les organisations syndicales refusent de participer cette semaine à la conférence et à la réunion organisées par le ministère de la fonction publique.

Elles appellent sur leur plateforme commune à l’action le 24 janvier 2008 par la grève et les manifestations pour exiger l’ouverture de réelles négociations sur la valeur du point d’indice et la refonte globale des grilles indiciaires, afin de permettre le rattrapage des pertes de pouvoir d’achat.

Paris le 18 décembre

2007

Grève et Manifestation le 8 février 2007

Réunis en Assemblée Générale de la FNEC-FP FORCE OUVRIÈRE le mercredi 24 janvier 2007, les personnels de l’Éducation Nationale

– Constatent que la question des salaires et des retraites (dont la menace d’allongement de la durée de cotisation à 45 ans, signée par Chirac et Jospin à Barcelone en 2004, se fait de plus en plus précise) concerne tous les salariés, public et privé

– Constatent, chaque année, l’apauvrissement d’une plus grande partie de la population, la généralisation de la précarité, la dégradation des conditions de travail liée à la flexibilité et l’annualisation.
Dans le même temps, les entreprises du CAC 40 dégagent toujours plus de bénéfices en multipliant les « plans sociaux » contre les salariés et la spéculation boursière

– Constatent que les salaires, l’emploi et le service public sont sacrifiés sur l’autel des « critères de convergence » traité de Maastricht que les citoyens ont massivement rejeté en votant contre le projet de Constitution le 29 mai 2005.

– Constatent que l’augmentation vertigineuse des prix, en particulier lors du passage à l’€uro, que les artifices gouvernementaux ne peuvent plus cacher (7,5% depuis 2000, plus de 30% depuis 1983) rend de plus en plus urgente la revendication du rattrapage du pouvoir d’achat et de l’augmentation générale des salaires

– Réaffirment leur attachement à la grille unique de la Fonction publique, à son point d’indice et à l’assurance d’un déroulement de carrière basé sur l’ancienneté

En conséquence ils appellent

À faire grève et à manifester avec FORCE OUVRIÈRE le jeudi 8 février 2007, place de la Préfecture à AGEN, à 15 heures

Pour

l’ouverture immédiate de véritables négociations pour le rattrapage du pouvoir d’achat et

l’augmentation générale des salaires et des pensions

une politique d’emploi public statutaire qui corresponde aux besoins réels

la défense des services publics, non soumis à la concurrence, et de la fonction publique, conformément aux valeurs républicaines de l’accès à tous dans les mêmes conditions

l’amélioration des conditions de travail et de vie de tous les personnels par la suppression des mesures instaurant la précarité, la flexibilité et l’annualisation du temps de travail