Mouvement 2016 Première Phase : Rappel !
ATTENTION, pour tous les collègues désireux de participer au Mouvement cette année, la date limite est mercredi soir 6 avril à minuit !
Un lien essentiel (et mis à jour) pour vous aider : L’Interface Catamute !
Rappel : Il y a eu à ce jour 4 erratums :
– SEGPA Tonneins
– ECMA Laffite sur Lot
– EEPU Ste Colombe en Bruilhois
– EMPU Les Petits Ponts, Agen
– EEPU Chemin Rouge et Jaurès, FUMEL
Si vous avez demandé ces postes vérifiez bien les erratums sur le site de la DSDEN47
Retrait de la loi Travail
Nouvelle manifestation : samedi 9 avril, 10h, place de la Préfecture à AGEN
Bien que la manifestation le samedi ne soit pas pour nous la réponse la plus adaptée pour faire reculer le gouvernement, elle s’inscrit dans la préparation de la grève interprofessionnelle, il faut maintenir la pression.
Nous appelons tous les enseignants à venir manifester massivement pour le retrait de la loi Travail, pour la défense des droits et garanties collectives.
Pour FO, le refus du gouvernement de répondre à la revendication met à l’ordre du jour la grève jusqu’au retrait du projet de loi.
FO invite les personnels à se réunir, à maintenir la pression pour le retrait du projet de loi. Pour tous, la question de la grève jusqu’au retrait est posée, décidons-la ensemble.
Mercredis après-midi travaillés : saison 2
Concernant les 2 demi-journées dites de « pré-rentrée » que veut nous imposer l’Administration, le Syndicat National SNUDI-FO confirme la position du SNUDIFO47 :
– Aucun PE ne peut être tenu de participer à des réunions organisées en dehors des 24 heures d’enseignement hebdomadaires et des 108 heures annualisées définies par le décret n° 2008-775 du 30 juillet 2008.
– Toute menace de retrait de salaire est infondée.
Le SNUDI-FO s’oppose et s’opposera à tous ces abus, afin de faire respecter les garanties statutaires. Il intervient auprès du ministère pour que cessent toutes ces tentatives, académiques ou départementales.
Tous les départements ne sont pas logés à la même enseigne
Pour information, suite à l’intervention du SNUDI FO, le DASEN des Bouches du Rhône a dû confirmer en CAPD (18 mars) que la notion de « 2ème journée de pré-rentrée » n’existe plus depuis cette année scolaire, qu’il n’y avait donc aucune obligation de la faire sous quelque forme que ce soit, et qu’il transmettra des directives auprès des IEN pour qu’une information officielle soit diffusée.
Si, dans le 13, le DASEN se montre moins obtus que la moyenne, que dire de notre Recteur qui annonce d’ores et déjà pour l’année prochaine 4 mercredis après-midi bloqués (2 pour la soi-disant pré-rentrée, 2 pour le lundi de Pentecôte) !!!
Pourquoi cette multiplication des mercredis après-midi travaillés ?
La ministre annonce en janvier que chaque enseignant aura 3 jours de formation par an. Le SE-UNSA approuve : Pour accompagner –enfin!- la refondation de l’École, le ministère annonce un plan pour la formation continue sur les deux prochaines années scolaires dans le 1er degré. L’objectif est de permettre 3 jours de formation continue par an et par enseignant en plus des 18 h d’animations pédagogiques.
Ce plan pour la formation continue doit être l’occasion pour le ministère de montrer qu’il a tiré toutes les conclusions de la Refondation. Il doit reconnaître désormais les enseignants non plus comme des agents qu’il faut diriger mais comme des professionnels dynamiques qu’il faut soutenir et accompagner.
Ce que le SE-UNSA omet de préciser, c’est qu’aucun moyen n’est prévu. Le montage est donc le suivant pour le département (info donnée à la CAPD de janvier) :
– 1 jour gratuit (la 2ème pré-rentrée)
– 1 jour imposé alors que nous avions jusqu’alors beaucoup de souplesse (la journée de solidarité)
– 1 jour qui n’est toujours pas budgété (pas de moyens de remplacement en plus : on fait avec les moyens du bord, ou 2 mercredis après-midi de plus…)
Pour le SNUDI FO cette logique est de plus en plus insupportable !
Nous avons été les seuls à contester ce projet d’organisation en CAPD.
Nous sommes cependant d’accord sur un point avec le SE-UNSA : le ministère a bien tiré toutes les conclusions de la Refondation.
Et de plus en plus d’enseignants aussi : la Refondation c’est un puits sans fond de dérèglementation et d’arbitraire.